Conditions d'inscription

L’inscription comprend la terre, le matériel, l’émaillage et les cuissons.
Chaque élève est libre de venir à l’atelier pour une ou plusieurs séances.
Les séances payées (valable une année) non effectuées ne sont pas remboursées.

Règlement le jour de la séance par chèque, chèques vacances ANCV, espèces, carte.

Les différentes techniques façonnage, finition, émaillage et décoration font parties intégrantes des séances,
ponctuées par les cuissons de biscuit et d’émail.

Les objets et créations réalisés durant les séances sont cuits (émaillés par les élèves) à l’atelier, les élèves en
prennent possession après les cuissons.

Les céramiques confectionnées à l’atelier ne doivent pas ultérieurement être mises en vente par les élèves.

Les émaux mis à disposition des élèves sont le fruit de recherches personnelles de l’atelier.

L’atelier n’est pas responsable des résultats au défournement.
La céramique est une discipline où la part du feu et les réactions inattendues de l’émail sont
incontournables.

Apporter une blouse ou tablier, un carnet pour réaliser des croquis, noter des démarches techniques et
lister les étapes de vos travaux en cours .

La carte de fidélité n’est pas valable avec les cartes cadeaux.

LES CRÉATIONS SONT CONSERVÉES UN AN.
PASSE CE DÉLAI SANS NOUVELLES DE VOUS, ELLES SERONT DÉTRUITES.
MERCI DE VOTRE COMPRÉHENSION

La poterie de Sandra

Sandra, fille de Phillipe, reprend le flambeau de la passion familiale avec la volonté de poursuivre la tradition familiale.

Nouveau départ

Philippe décidera de créer sa propre entreprise, également dans le village du fuilet.
Il fait le choix de poursuivre le savoir-faire des tourneurs de poterie de jardin. Vers 1990 il prendra un tournant dans sa production en décidant de développer une gamme de céramiques utilitaires. À ses côtés sa femme Fabienne ; elle jouera un rôle important dans la production, car elle assurera l’émaillage des pièces et la décoration.
Il formera sa fille Sandra, dès l’âge de 16 ans. Il lui transmettra le savoir-faire de ses ancêtres.
Cette aventure se poursuit en Bretagne pendant 2 ans.

La poursuite

Apres la guerre Maurice Vincent poursuivra seul son activité de potier. Il crée son entreprise de poterie de jardin. Tout en conservant son savoir-faire de tourneur, il développe son entreprise par l’industrialisation de pot fabriqué par des presses mécaniques.
Il poursuivra les pièces de jardins tournées, mais répondra également à la demande des charcutiers qui lui permettront de développer des séries de pièces utilitaires.
Ses deux fils le rejoignent dans son aventure. Jean François le succédera à la tête de son entreprise. Philippe sera quant à lui formé pour tourner.

Le commencement

François Vincent installe son atelier de potier dans le village du fuilet aux recoins. À cette époque le village est réputé pour ces poteries de jardin, il prend le parti de suivre la demande en se spécialisant dans cet art.
Tourneur de poterie de jardin, il forme également ses deux fils, Maurice et Paul.